Les métaux lourds (ou ETM) et les toxines
Pendant des siècles, les Japonais se sont enterrés dans le sable de certaines sources chaudes pour se purifier et éliminer leurs toxines. La chaleur (les infrarouges longs émis par le soleil) chauffait le sable et lui conférait des propriétés précieuses pour l’organisme. Cette tradition est aujourd’hui perpétuée par le Iyashi Dôme aux infrarouges longs. Mais finalement que sont les toxines et métaux lourds ?
Suite aux études cliniques commandée par Iyashi Dôme sur l’aide à l’élimination des toxines et métaux lourds via les séances d’infrathérapie Iyashi Dôme, nous aborderons spécifiquement les métaux lourds toxiques suivant, tels le Strontium, le Baryum, le Nickel, le Plomb, le Molybdène, le Tellure, le Chrome, le Cobalt, l’Arsénique, le Cadmium, l’Aluminium et le Cuivre…
La notion d’éléments-traces métalliques (ETM) tend à remplacer celle de métaux lourds mal définie car englobant des métaux toxiques réellement lourds, à d’autres l’étant moins…
Tous les ETM sont toxiques ou toxiques au-delà d’un certain seuil et certains sont radioactifs.
Leurs concentrations environnementales (eau, air, sol, organismes) résultent d’apports anthropiques (industrie, transports…) et naturels (volcanisme et altération des minéraux primaires) ; émis dans l’environnement, ils y sont redistribués dans les profils du sol via la pédogenèse et la bioturbation, et dans les écosystèmes via les phénomènes de bioassimilation et bioconcentration.
Selon les éléments et le contexte (acidité du milieu, synergies entre ETM ou entre ETM et d’autres polluants, spéciation…), les ETM sont plus ou moins bio assimilables et peuvent être bioconcentrés par la chaîne alimentaire. C’est pourquoi certains font l’objet d’un suivi (réglementaire ou volontaire) dans l’eau, l’air (associés aux aérosols ou poussières), les sols, l’alimentation, les boues d’épuration, etc. De nouveaux problèmes sont posés par les nanoparticules métalliques en raison de leurs propriétés nouvelles (et alors que certains sont depuis peu déjà largement utilisées ; le nanoargent par exemple).
Certains métaux sont indispensables à faibles doses (oligoéléments) et d’autres hautement toxiques ; il a donc été récemment proposé de compléter les bilans sanguins et bilans de santé classiques par un profil métallique. De nombreux effets physiologiques délétères sont démontrés pour les ETM au-delà de certains seuils parfois très bas chez l’Homme ! Certains ETM sont nécessaires, à l’état de traces, pour certains processus biologiques vitaux. Notamment le fer, le zinc et le cuivre.
Le mercure et le plomb n’ont aucune utilité connue. Toxique pour la cellule quelle que soit leur dose, ce sont de purs contaminants de l’organisme. Le plomb interfère négativement avec le métabolisme du calcium.
On distingue en particulier les trois métaux mercure, plomb, cadmium, pour lesquels d’une part on n’a pas pu mettre en évidence de rôle positif pour l’activité biologique, et qui d’autre part peuvent être à l’origine d’intoxications ou de maladies chroniques graves, même à faibles doses . Le cadmium détruit les reins et dégrade le foie, et le mercure est un puissant neurotoxique. L’aluminium pourrait présenter une neurotoxicité chez l’être humain.
Il existe de nombreuses solutions pour favoriser l’élimination des toxines et métaux lourds dans l’organisme, en voici quelques-unes :
- Chlorella et la spiruline sont des genres d’algues vertes cultivées en eau douce qui ont pour principales propriétés de stimuler le foie et les reins, participant ainsi activement à l’élimination des métaux lourds et des toxines,
- L’ail des ours (ou ail sauvage) : pour ces propriétés épuratives,
- Le silicium et la coriandre pour aider à éliminer l’aluminium et les métaux lourds par exemple,
- Le charbon actif sous forme de cure ,
- (prévention) Favoriser la consommation de produits issue de l’agriculture biologique,
- L’infrathérapie Iyashi Dôme dont les effets bénéfiques ont été prouvé cliniquement sur l’élimination des métaux lourds et toxines lors d’une étude en 2012, avec la conclusion suivante :
« L’analyse de 2 ml de sueur de patients soumis à des séances de 25 minutes d’infrarouges longs de type Iyashi dôme permet de montrer une action réelle sur l’élimination des métaux lourds. L’étude Clinique a été réalisée en Suisse sur 22 patients. Des échantillons de sueur ont été prélevés sur le corps des patients après une séance de 25 minutes de Iyashi Dôme. La sueur a été prélevée à l’aide d’une pipette Pasteur sur le buste et les bras des patients. Aucun ustensile de prélèvement en métal n’a été utilisé. Le laboratoire MGD à Genève (Suisse) a analysé la sueur puis l’a comparé aux analyses d’urine de ces mêmes patients. « L’analyse du tableau de la figure 2 montre que le Iyashi Dôme permet d’augmenter l’élimination de métaux lourds toxiques tels le Strontium, le Baryum, le Nickel, le Plomb, le Molybdene, le Tellure, le Chrome, le Cobalt, l’Arsenique, le Cadmium, l’Aluminium et le Cuivre. Ce tableau montre que les quantités totales de métaux lourds sont plus élevées que la moyenne qui est de 514 μg/l, avec une efficacité particulière pour l’aluminium.L’analyse simultanée des urines montre que les métaux lourds sont essentiellement excrétés par la sueur. L’action est particulièrement efficace sur l’aluminium. »
*Blanchemaison P., Morillon.F., Clement.R., La cure Détox Iyashi Dôme. Intérêt de l’appareil à infrarouges longs, le Iyashi Dôme, dans l’élimination des métaux lourds en excès. Genesis 2012, n°167, 20-23 (journal médical de gynécologie, n°167 du mois de Mai 2012 «
N’hésitez pas à faire un dépistage des métaux toxiques et à faire dresser par votre médecin traitant un bilan complet !
www.iyashidome.com – Siège social – 72 Avenue du Docteur Arnold Netter – 75012 Paris
Contenu modifié à partir de l’article web Wikipédia. « Eléments-Traces métalliques », [dernière modification de la page a été faite le 18 octobre 2019 à 17:42.]- CC BY-SA 3.0- Article complet sur les ETM disponible sur https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89l%C3%A9ment-trace_m%C3%A9tallique